CONTENU MINIMAL

 D'UNE TROUSSE DE SECOURS

Ciseau Jesco

permet de couper tout type de vêtement sans risque car ils sont à bouts ronds

Couverture de survie

contrairement à toutes les idées reçues il n'y a pas de sens

Le DAKN

Il présente plusieurs avantages :

excellent spectre d'action pour lutter contre les bactéries, les champignons et les virus,

il est incolore sur la peau

se conserve 1 an après ouverture

BIAFINE

Il n'y a pas d'allergie connue

Les bandes auto-adhérentes collent sur elles mêmes et résistent à l'eau

Compresses

 

Gants

très utile pour gagner du temps à désinfecter une coupure

Poche de froid à usage unique

les pansements seconde peau qui permettent la cicatrisation en milieu humide sans jamais coller à la plaie car le

pire ennemi de la colle reste l'humidité

Plaie Simple

1/ Se laver les mains à l'eau et au savon

2/ Nettoyer la plaie à l'eau et au savon

3/ Désinfecter à l'aide de l’antiseptique et des compresses

4/ Protéger par un pansement ( seconde peau),

5/ Demander à la victime si elle est vaccinée contre le
    tétanos

6/ Demander de surveiller sa plaie car il y a un risque
    infectieux

7/ Changer tous les jours

il y infection si la plaie devient :

 

- chaude

- rouge,

- si elle gonfle

- si elle devient ou continue d'être douloureuse et/ou si

  une fièvre apparaît dans les jours suivants.

 

un seul de ces éléments suffit pour aller consulter sans tarder un médecin car il peut y avoir une infection

Au début de l'infection des antibiotiques spécifiques  peuvent éviter une aggravation importante pouvant aboutir à une opération.

5 BONNES RAISONS D’OPTER POUR LA CICATRISATION DES PLAIES EN MILIEU HUMIDE

Parce que l’humidité accélère la cicatrisation de la peau

1

La régénération du tissu cutané à la surface de la plaie nécessite la formation de nouvelles cellules. Or, l’humidité est très propice à la croissance cellulaire! Le principe du traitement des plaies en milieu humide consiste à créer et à maintenir des conditions d’humidité optimales pour la régénération de la peau. Si vous maintenez votre plaie humide à l’aide d’un pansement pour cicatrisation en milieu humide, vos cellules se diviseront et migreront plus vite et votre plaie pourrait guérir jusqu’à 50 % plus rapidement.

Parce que l’humidité prévient la formation d’une croûte

2

La cicatrisation des plaies en milieu humide permet d’éviter la formation d’une croûte. L’humidité facilite en effet la croissance et la migration des nouvelles cellules et maintient les protéines nécessaires à la fermeture de la plaie là où elles doivent être pour accomplir leur travail de réparation.

Les plaies qu’on laisse sécher à l’air libre formeront systématiquement une croûte. Cette technique complique par ailleurs la fermeture de la plaie à proprement dite, parce que la sécheresse ambiante ralentit la formation de nouveau tissu cutané

Parce que l’humidité entretient la souplesse de la plaie

3

Recouvrir votre plaie d’un pansement pour cicatrisation

des plaies en milieu humide signifie également que vous lui conservez sa souplesse en empêchant la formation d’une croûte (voir le point 2), ce qui améliore la liberté de mouvement, particulièrement si le siège de la plaie est une articulation, comme le genou ou le coude. Mieux encore : l’humidité garantit que l’enlèvement ou le changement du pansement se fera sans douleur puisque le tissu néoformé ne se détachera pas.

Parce que l’humidité prévient les cicatrices et est le gage

d’une belle cicatrisation

4

Qui veut garder une cicatrice qui lui rappelle l’endroit de sa blessure pendant des années ?

Le traitement des plaies en milieu humide est la meilleure façon d’obtenir une cicatrisation rapide, de réduire le risque de formation de croûtes et donc, d’éviter les cicatrices.

Parce que l’humidité est bonne pour la peau

5

Tous les produits pour cicatrisation des plaies en milieu humide utilisent des matériaux sans danger pour la peau, qui garantissent un niveau élevé de confort (matériaux ultra-minces, souples, perméables à l’air, comme le polyuréthane, qui s’étireront avec la peau), et recourent aussi parfois à des technologies de pointe, comme la technologie hydrocolloïde.

BRÛLURE SIMPLE

1/ Refroidir à l’eau courante, tempérée (15 à 25°c),

    sans pression

    L’arrosage est maintenu jusqu’à l’obtention d’un avis

    médical

2/ Protéger et réhydrater la brûlure avec une couche

     épaisse de 1cm de biafine

3/ Appliquer une compresse humide

4/ Fixer ce pansement à la biafine avec bande

    auto-adhérente

5/ Demander à la victime si elle est vaccinée contre le
    tétanos

6/ Demander de surveiller sa plaie car il y a un risque
    infectieux

7/ Remettre autant de fois de la biafine et laisser cette

    couche épaisse jusqu’à cicatrisation complète en

    changeant une fois par jour le pansement à la biafine

il y infection si la plaie devient :

 

- chaude

- rouge,

- si elle gonfle

- si elle devient ou continue d'être douloureuse et/ou si

  une fièvre apparaît dans les jours suivants.

 

un seul de ces éléments suffit pour aller consulter sans tarder un médecin car il peut y avoir une infection

Au début de l'infection des antibiotiques spécifiques  peuvent éviter une aggravation importante pouvant aboutir à une opération.

TRAUMATISMES (cheville tordue)

1/ Retirer si possible la chaussure

2/ Appliquer du froid sans brûler la peau entre 20 et 30 mn

    pour éviter apparition d'un gonflement ou limiter sa taille

3/ Consulter un médecin spécialisé

Pas de gel à l'arnica en première intention sur un coup mais toujours du froid pour provoquer une vasoconstriction et ensuite si besoin de drainer un hématome on chauffe tout autour en étalant de l'arnica

EN CAS D’ENTORSE JE ME SOIGNE !

Les séquelles d'une entorse insuffisamment soignée peuvent être dévastatrices, surtout s'il s'agit d'un sportif, dont les articulations sont particulièrement sollicitées.

 

 D'abord, faute d'avoir servi pendant plusieurs jours, voire plusieurs semaines, la masse musculaire va fondre. Cela va très vite, y compris chez les personnes en bonne santé ayant une activité physique importante. La cheville (c'est l'entorse la plus fréquente) ou l'articulation blessée est donc fragilisée puisque les muscles permettent d'ordinaire d'assurer une bonne stabilité et de protéger l'articulation. Résultat : en l'absence de traitement, elle risque de se tordre à nouveau.

 

 Au sortir d'une entorse, à force d'avoir été immobilisée, l'articulation est devenue raide : il est difficile de la remettre en route et, bien souvent, le patient a perdu de l'amplitude dans ses mouvements.

 

En l'absence de rééducation, ce dernier se trouve donc diminué physiquement : même si la douleur a disparu, l'articulation blessée est moins performante qu'auparavant. C'est d'autant plus vrai qu'il s'agit de la cheville ou d'une articulation de la jambe.

 

Résultat :

 

- le premier facteur de risque d'une entorse est la présence d'une ancienne entorse ;

 

- par ailleurs, les patients ayant eu une entorse à une cheville ont plus de risques de se faire une entorse sur l'autre cheville.

 

Seule une rééducation précoce peut aider à réduire ces risques. Le souci, c'est qu'il n'y a pas de prise en charge standardisée de l'entorse. Et tous les médecins n'ont pas conscience de l'importance de la rééducation. D'autant qu'elle engendre un coût supplémentaire pour la sécurité sociale, qui sera imputée au prescripteur.